Ce résumé couvre la troisième session en ligne d’une série de quatre, présentant les feuilles de route de quatre sites de recherche. La session met en évidence les progrès et les stratégies réalisables sur des sujets clés, y compris le logement des Premières nations dirigé par la communauté, les communautés régénératives, la conception d’écoles inclusives et les parcs en tant qu’infrastructures essentielles. Découvrez comment ces projets collaboratifs relèvent les défis et façonnent des solutions pour un environnement bâti plus durable et plus équitable.
*Veuillez noter que le résumé suivant a été créé à l’aide d’un outil d’intelligence artificielle (fireflies.ai).
🌍 Vue d’ensemble du projet et mise à jour à mi-parcours (04:58 – 06:54)
Jean-Pierre Chupin présente l’état d’avancement du projet à mi-parcours
- Le projet est actuellement à mi-parcours, l’accent étant mis sur le passage de la recherche à des résultats exploitables.
- Les prochaines sessions porteront sur divers sujets, notamment les logements gérés par les communautés, les communautés régénératives, les écoles inclusives et les parcs résiduels.
- La prochaine convention en personne est prévue pour mai 2025 à l’Université de Toronto afin d’évaluer la mise en œuvre des actions développées au cours du projet.
Le projet s’étend de Montréal à Calgary, Halifax et Toronto
- Le projet implique une collaboration entre plusieurs villes du Canada, notamment Montréal, Calgary, Halifax et Toronto.
- Il vise à traiter les questions liées à la qualité de l’environnement bâti par le biais de la recherche et de l’engagement communautaire.
- Le projet comprend une série de conventions et de présentations visant à partager les résultats et à élaborer des stratégies exploitables.
Se concentrer sur le passage de la recherche à l’action
- L’importance des partenariats avec les acteurs de la communauté pour s’assurer que les résultats de la recherche sont pertinents et exploitables.
- La nécessité d’une évaluation continue et de mécanismes de retour d’information afin d’adapter et d’améliorer les actions en fonction des résultats obtenus dans le monde réel et des besoins de la communauté.
- L’importance de l’intégration des connaissances locales et des perspectives culturelles dans la conception et la mise en œuvre des solutions pour renforcer l’appropriation et la durabilité par la communauté.
Feuilles de route disponibles sur la plateforme numérique de l’Atlas vivant de la qualité
- Les feuilles de route offrent une approche structurée de la compréhension et de la mise en œuvre de la qualité dans divers environnements bâtis.
- Ils sont accessibles aux chercheurs, aux praticiens et aux membres de la communauté, ce qui favorise la collaboration et le partage des connaissances.
- L’Atlas vivant de la qualité est une ressource dynamique qui évolue en fonction des recherches en cours et du retour d’information de la communauté.
Des équipes pour présenter les problèmes, le processus de recherche et les actions à venir
- Les équipes s’efforcent de passer de la recherche à des solutions concrètes dans le cadre de divers projets axés sur la communauté.
- Chaque équipe présente ses propres défis, ses méthodologies de recherche et ses actions planifiées adaptées aux besoins spécifiques de la communauté.
- L’accent est mis sur la collaboration avec les acteurs locaux afin de s’assurer que les solutions proposées sont durables et culturellement pertinentes.
🏘️ Le logement des Premières nations géré par la communauté (07:49 – 15:44)
Panos Polizoys présente le projet de l’Université du Manitoba
- Le projet met l’accent sur le codéveloppement de solutions de logement par le biais d’une collaboration avec les communautés autochtones, les praticiens et les universitaires.
- Il aborde les défis uniques auxquels sont confrontées les communautés des Premières nations en matière de qualité du logement, de durabilité et d’autodétermination.
- La recherche implique de s’engager avec les membres de la communauté dans le cadre de tables rondes afin de partager les connaissances et de développer des pistes pour des solutions de logement abordable.
Mettre l’accent sur le logement abordable et durable pour les Premières nations
- Le logement abordable et durable chez les Premières nations met l’accent sur les aspects clés suivants :
- Des processus de conception menés par les communautés qui intègrent les connaissances et les valeurs autochtones afin de garantir que les logements répondent aux besoins spécifiques des communautés des Premières nations.
- Collaboration avec des praticiens locaux, des universitaires et des représentants de la communauté pour développer conjointement des solutions de logement qui donnent la priorité à la durabilité et à l’autodétermination.
- S’attaquer aux obstacles systémiques, tels que la surpopulation et les infrastructures inadéquates, en adoptant des approches novatrices qui favorisent des conditions de vie de qualité et le respect de la terre.
Collaboration avec des praticiens, des universitaires et des communautés autochtones
- Il encourage l’intégration de diverses perspectives, en veillant à ce que les solutions soient culturellement pertinentes et adaptées au contexte.
- Ces partenariats favorisent le renforcement des capacités au sein des communautés, en donnant la parole aux acteurs locaux et en promouvant des pratiques durables.
L’accent est mis sur la durabilité et l’autodétermination
- La durabilité dans le logement pour les communautés autochtones se concentre sur l’utilisation de matériaux locaux et de pratiques de construction traditionnelles pour créer des maisons respectueuses de l’environnement et de la culture.
- L’autodétermination permet aux communautés autochtones de définir leurs propres besoins et solutions en matière de logement, en veillant à ce que les projets reflètent leurs valeurs, leurs traditions et leurs aspirations.
- Les partenariats de collaboration entre les communautés autochtones, les chercheurs et les praticiens facilitent le partage des connaissances et le renforcement des capacités, ce qui permet de trouver des solutions plus efficaces et plus durables en matière de logement.
Cinq tables rondes ont été organisées pour discuter des problèmes de logement.
- Les tables rondes ont rassemblé des professionnels du secteur, des universitaires, des responsables locaux et des jeunes pour partager des connaissances et nouer des relations.
- Les discussions ont porté sur les défis uniques auxquels sont confrontées les communautés des Premières nations en matière de qualité, d’accessibilité et de durabilité des logements.
- Ces événements visaient à développer conjointement des voies pour un logement de qualité grâce à la collaboration et à promouvoir la vérité et la réconciliation dans le contexte des questions de logement indigène.
🌱 Recherche sur les communautés régénératives (30:05 – 35:05)
Kaiden Reding et Twylla Soosay présentent les recherches de l’Université d’Athabasca
- La recherche se concentre sur le logement et la souveraineté alimentaire dans les communautés rurales, régionales et éloignées du Canada.
- Elle met l’accent sur les principes de restauration écologique, de richesse culturelle, de justice sociale et d’autonomisation des communautés.
- Le projet vise à développer des pratiques et des stratégies durables qui améliorent le bien-être et la résilience de la communauté.
Accent mis sur le logement et la souveraineté alimentaire dans les communautés rurales, régionales et éloignées
- Le logement et la souveraineté alimentaire sont des questions interconnectées qui ont un impact significatif sur les communautés rurales, régionales et isolées.
- Ces communautés sont souvent confrontées à des défis tels que l’accès limité à des logements abordables, ce qui exacerbe l’insécurité alimentaire et limite les opportunités économiques.
- Les stratégies visant à améliorer la qualité des logements et la souveraineté alimentaire comprennent des initiatives communautaires qui mettent l’accent sur les ressources locales, les pratiques durables et les solutions adaptées à la culture.
L’accent est mis sur la décommodification de l’alimentation et du logement
- La décommodification de l’alimentation et du logement vise à soustraire ces besoins essentiels aux forces du marché, afin d’en garantir l’accès à tous les individus, quelle que soit leur situation économique.
- Cette approche favorise les solutions communautaires et la production locale, encourageant la résilience et l’autosuffisance dans les quartiers.
- En donnant la priorité à l’équité sociale et à la durabilité environnementale, la décommodification vise à créer des systèmes qui favorisent le bien-être à long terme et réduisent la vulnérabilité aux fluctuations économiques.
Développement de six modules présentant des études de cas
- Les six modules sont conçus pour présenter des méthodes alternatives de revitalisation des communautés rurales.
- Chaque module comprend des études de cas qui mettent en évidence un engagement communautaire réussi et des solutions innovantes.
- Les modules visent à approfondir la compréhension des expériences vécues et à promouvoir l’action en faveur de la qualité du logement et de la souveraineté alimentaire.
Collaboration avec l’Alberta Real Estate Foundation
- Le partenariat vise à développer des modules présentant des études de cas qui traitent de l’accessibilité financière et de la durabilité dans les communautés rurales.
- Cette collaboration souligne l’importance de l’autonomisation et de la résilience des communautés pour relever les défis du logement.
🏫 Conception d’écoles inclusives (49:56 – 01:01:26)
Susan Fitzgerald présente les recherches de l’Université Dalhousie sur les écoles inclusives
- La recherche se concentre sur la création d’environnements scolaires inclusifs qui favorisent un sentiment d’appartenance pour tous les élèves, en particulier ceux qui ont des origines et des capacités diverses.
- Souligne l’importance des évaluations post-occupation pour déterminer dans quelle mesure les conceptions des écoles répondent aux besoins des utilisateurs et pour informer les futurs projets.
- Implique une collaboration avec les partenaires de la communauté, y compris les étudiants et les éducateurs, afin de s’assurer que le processus de conception intègre un large éventail de perspectives et d’expériences.
Se concentrer sur la création d’espaces qui favorisent le sentiment d’appartenance
- La création d’espaces favorisant le sentiment d’appartenance peut améliorer l’engagement et le bien-être de la communauté.
- La conception inclusive doit prendre en compte les divers besoins de tous les utilisateurs, en garantissant l’accessibilité et le confort de chacun.
- L’intégration de la culture locale et de l’apport de la communauté dans le processus de conception peut renforcer les liens et promouvoir un sentiment d’appartenance chez les résidents.
Problèmes identifiés : surpeuplement, exclusion du processus de conception, coûts de construction élevés
- La surpopulation des écoles a des répercussions négatives sur le bien-être mental des élèves et du personnel, ce qui affecte l’environnement d’apprentissage dans son ensemble.
- L’exclusion dans le processus de conception aboutit à des espaces qui ne répondent pas aux divers besoins de tous les utilisateurs, en particulier les adolescents et les personnes handicapées.
- Les coûts de construction élevés, en particulier dans les zones rurales, empêchent de créer des espaces éducatifs inclusifs et bien conçus, ce qui limite l’accès à une éducation de qualité.
Travail sur le terrain dans deux écoles primées à Halifax
- Analyse des plans architecturaux et documentation photographique pour comparer l’utilisation prévue et l’utilisation réelle des espaces.
- Les élèves et le personnel ont été invités à participer à des entretiens et à remplir un bulletin scolaire afin de recueillir des informations sur l’environnement de l’école.
Élaboration d’une fiche d’évaluation des bâtiments scolaires
- Ce bulletin permet aux élèves et au personnel de donner leur avis sur la qualité et la fonctionnalité des espaces scolaires.
- Il comprend des questions ouvertes et des échelles de notation pour évaluer divers aspects de l’environnement scolaire.
- Les conclusions de ce rapport serviront de base aux futures décisions de conception et de rénovation visant à améliorer les espaces d’apprentissage.
🌳 Les parcs en tant qu’infrastructures essentielles (01:08:51 – 01:29:47)
Fadi Masoud présente les recherches de l’Université de Toronto sur les parcs
- Fadi Masoud souligne l’importance des parcs en tant qu’infrastructures essentielles pour l’équité sociale et la résilience environnementale en milieu urbain.
- La recherche comprend une analyse géospatiale visant à identifier les parcs qui nécessitent des améliorations, en se concentrant sur les zones où les besoins sont importants et les investissements faibles.
- La solution proposée consiste à créer un système normalisé d’entretien et de gestion des parcs qui intègre la participation de la communauté et la gestion à long terme.
Mettre l’accent sur le lien entre l’équité sociale et la résilience environnementale dans la conception des parcs
- L’établissement d’un lien entre l’équité sociale et la résilience environnementale dans la conception des parcs peut être réalisé grâce aux approches suivantes :
- Incorporer l’avis de la communauté dans le processus de conception pour s’assurer que les parcs répondent aux divers besoins des populations locales, en particulier des groupes marginalisés.
- La mise en œuvre de solutions d’infrastructures vertes, telles que l’aménagement paysager de plantes indigènes et les surfaces perméables, afin d’améliorer la résilience environnementale tout en offrant des espaces de loisirs accessibles à tous les membres de la communauté.
- Mettre en place des programmes d’entretien et de gestion qui impliquent les résidents locaux, en favorisant un sentiment d’appropriation et de responsabilité à l’égard des espaces verts, ce qui peut conduire à une amélioration des résultats environnementaux et de la cohésion sociale.
Analyse des politiques et de la littérature pour comprendre les parcs de qualité
- Des lacunes dans la gestion et l’entretien des parcs ont été identifiées grâce à des audits et des rapports récents, soulignant la nécessité d’améliorer la surveillance et l’affectation des ressources.
- Examen de la relation entre l’équité sociale et la résilience environnementale dans la conception des parcs, en soulignant l’importance des espaces verts accessibles aux communautés mal desservies.
- Développement de méthodologies d’évaluation de la qualité des parcs, en se concentrant sur les facteurs sociaux, les performances écologiques et l’état des infrastructures, afin d’établir des priorités dans les domaines à améliorer.
Élaboration de méthodologies permettant de hiérarchiser les améliorations à apporter aux parcs
- L’analyse géospatiale a permis d’identifier les parcs présentant des problèmes environnementaux importants et des populations en situation d’équité, afin d’y apporter des améliorations ciblées.
- Création de modèles d’observation pour évaluer les facteurs sociaux, les performances écologiques et la qualité des infrastructures dans les parcs sélectionnés.
- Élaboration d’une liste restreinte de parcs à améliorer sur la base des conditions observées, en classant les possibilités en actions à court, moyen et long terme.
Proposition d’un nouveau paradigme pour le maintien de la qualité des parcs à long terme
Mettre en place une boucle de rétroaction entre les concepteurs et les équipes d’entretien afin de s’assurer que les intentions de conception correspondent aux besoins d’entretien à long terme, ce qui favorise la durabilité et la qualité de la gestion du parc.
Établir un code d’entretien normalisé qui classe les parcs en fonction de leurs caractéristiques spécifiques plutôt que de leur taille, afin de garantir un entretien et une gestion sur mesure.
Intégrer l’implication de la communauté dans la gestion du parc en créant des mécanismes permettant aux résidents locaux de participer aux processus d’entretien et de prise de décision, en favorisant un sentiment d’appartenance et de responsabilité.